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JEANVOINE Michel. Lire le Délire.


   Ce que je voulais vous proposer aujourd’hui est un parcours. En effet comme ce titre le donne à entendre, « lire le délire », ce parcours noue des éléments de la synchronie à la dimension diachronique. Et ce qui s’est dit ce matin, et hier, me convient assez bien dans la mesure où ce que je vais avancer reprends, déplace, croise ou noue certains éléments déjà amenés par quelques uns d’entre vous.
     A l’instant la question était posée de savoir si la topologie, plus précisément la topologie borroméenne, apportait vraiment quelque chose et c’est de ce point que je vais partir pour mon propos.
      En effet, il m’apparait que le maniement de cette topologie borroméenne, que je travaille  depuis de nombreuses années, permet une lecture, une relecture, de tout un chemin qui, non seulement habite l’histoire de la psychanalyse mais fait une histoire de la psychanalyse. La surprise est grande de trouver dans des textes des passages assoupis et qui, à cette lecture, se mettent à vivre et à retrouver un tranchant insoupçonné. Comme si cette lecture nous permettait de progresser sur le chemin de ce qui a pu fonder pour nous, non seulement, le chemin de la certitude de J. LACAN ou celui de J. LACAN pour la certitude de FREUD, celle de FREUD pour nous, mais aussi celle de FREUD pour SCHREBER par exemple.
     J. LACAN, dans sa thèse de 1932, évoque précisément le point par lequel il est devenu freudien. Ceci se joue autour de la démarche freudienne qui lui apparaît de nature tout à fait scientifique,  celle qui animait FREUD dans ses travaux. C’est non seulement ce point qui lui donne cet appui mais par ce point que s’ouvre ce long compagnonnage qui sera le sien avec les textes freudiens.
     Plus précisément que dit-il ?  Ceci, qu’avec FREUD s’est ouvert un champ neuf, le champ du langage et de la parole, que celui-ci qualifie de champ de la libido. Ce champ se prête au travail du « donner commune mesure », celui du scientifique dans son travail de scientifique. Il consiste à lire et à dégager les lois qui organisent les liens entre les différents éléments qui surgissent, épars, dans ce champ libidinal. C’est ce véritable coup de force freudien qui le séduit et l’emporte avec la mise en place des conditions pour l’invention d’un au-delà d’une psychopathologie descriptive soit d’une psychopathologie structurale à lire et à construire.
     Hier nous avions évoqué le cas du Président SCHREBER et la remarque avait été faite que si pour quelques uns celui-ci se présentait comme un paranoïaque, pour d’autres son délire était de nature paranoïde, et pour d’autres encore paraphrénique… Ce que nous vérifions en fait, avec SCHREBER, c’est comment une même personne peut se présenter à tel moment comme un hypochondriaque, à un autre moment dans des manifestations aigues, à tel autre encore avec un délire paranoïde, à tel autre encore avec une pente certaine à la paraphrénisation, …et sans oublier la dimension paranoïaque du tableau…Ceci ne semblait pas trop effrayer FREUD puisque celui-ci était manifestement beaucoup plus intéressé par cet au-delà d’une simple psychopathologie descriptive, certes indispensable, mais porte indispensable par où progresser sur le chemin de ce qui fondait pour lui la certitude de SCHREBER. De quel côté tente t-il d’établir cette certitude, et de quelle manière lit-il et dégage-il « l’appareil logique » au travail dans cette construction délirante? Voire cet « appareil topologique » qui règle cette dynamique, la rend possible, et permet à SCHREBER de pacifier son monde ? C’est à cette question que nous avons à faire dans notre clinique, dans nos travaux de la « fabrique du cas », et c’est à cette lecture et à ce travail ouvert par FREUD une première fois que nous sommes confrontés en sachant, comme j’avais pu le rappeler dans l’introduction à ces journées, que le clinicien a toujours à se compter dans l’opération qui consiste à lire une clinique. En effet la position du clinicien conditionne cette lecture et cette clinique qui ne va pas sans prendre en compte le transfert.
     Ce matin Jean-Marc FAUCHER parlait du texte de cette lumineuse conférence de J.LACAN en 1952, « Le mythe individuel du névrosé ». A mon sens, pas de meilleure entrée dans la clinique, dans une lecture topologique de la clinique, que ce texte. En quoi ? Tout simplement en ceci que J. LACAN nous donne à lire,  en retravaillant la clinique freudienne avec l’« Homme aux rats » ou en se penchant sur GOETHE, comment la réalité du névrosé est ordonnée, réglée par des oppositions signifiantes, qui font d’elle une réalité commandée par un objet et donc une réalité toujours fantasmatique. Il y relève, dans cette lecture, les lois que vient de dégager Claude LEVI-STRAUSS à propos de la structure des mythes; d’où le sous-titre de cette conférence. Et il nous en propose une première formalisation sous la forme de ce qu’il appelle son quatuor, ancêtre du schéma L.
     Et, à cet endroit je veux vous faire part d’un étonnement, et d’une certaine perplexité. Et la question vous est  posée. En effet de cette formalisation sur la structure des mythes J.LACAN s’en trouve inspiré pour rendre compte de la réalité névrotique et n’évoque à aucun moment la construction du délire. Si ce n’est à quelques endroits de son séminaire sur les psychoses où il s’interroge sur la structure de ces espaces divins schréberiens mais sans s’y avancer au-delà. Tout un espace reste en creux, à explorer, de l’intérêt de cette lecture pour la construction du délire, c’est-à-dire de ce qui s’impose dans les modalités de la xénopathie pour un patient chez qui fait défaut cette fonction essentielle dite, par J. LACAN un peu plus tard, du Nom du Père et qui assure sa prise dans l’ordre du signifiant.
     Et quelle ne fût pas ma surprise de lire dans le texte freudien des commentaires sur SCHREBER une lecture des instances divines schréberiennes tout à fait homogène à une lecture Claude levi straussienne des mythes.
     Mais revenons tout d’abord à Clause LEVI STRAUSS et à cette lecture. Quel est l’os de cette lecture et ce qui, pour Claude LEVI STRAUSS, caractérise une lecture structurale ? Et peut-être allez-vous entendre dans ce que je vais amener l’actualité de ce qu’il en est dans la construction du nœud borroméen, dans le nouage. Mais ceci est un autre travail.
     De cette masse informe et chaotique de l’ensemble des mythes, ou contes, d’une culture ou d’une  autre, Claude LEVI STRAUSS, par la lecture qu’il nous en propose, en fait un ensemble ordonné qui répond d’une logique. Il en dégage un « appareil logique », c’est son mot, susceptible de décliner les différentes versions, passées ou à venir, du mythe. Comme si cet appareil logique n’était que la reliure de cet « être verbal » qu’est le mythe selon lui, que les différentes versions du mythe allaient venir feuilleter et décliner…Ainsi une communauté, en se donnant un mythe, se donne du même coup une même origine, et des ancêtres communs à partager, et fait de cette communauté une communauté animée par un même destin et des perspectives communes. Nous entendons comment, pour LEVI STRAUSS, « l’efficacité symbolique » trouve là une de ses expressions. Il y a un réel du mythe en jeu dont il nous faudra bien un jour traiter la question.
     Comment travaille t-il? Et quelle est sa méthode? Comment s’y prend-t-il?
     Après avoir transcrit les différents éléments relevés sur le terrain il les classe et les ordonne selon la diachronie de l’histoire en isolant les différents éléments syntaxiques selon la fonction mise en jeu par le verbe qui anime la proposition. A cet axe diachronique, qui se déplie selon un axe longitudinal, il tisse un axe synchronique où se distribuent ces fonctions qu’il isole. La mesure peut se prendre alors de ce que le procès du mythe se trouve réglé par le jeu d’oppositions ou de contradictions qui organisent ces fonctions et semblent même les fonder. Lire un mythe reviendrait donc à lire l’ensemble des oppositions ou contradictions qui  l’organisent et lui permettent de se déplier; en allant quelques fois jusqu’à proposer une commune mesure qui à son tour ne trouve son statut que dans un jeu d’opposition avec de nouveaux termes,…. et ainsi de suite. Une  lecture structurale telle que nous la propose Claude LEVI STRAUSS consiste donc à faire l’inventaire de ces oppositions et en les comptant comme identiques à elles-mêmes, à leur « donner commune mesure ». En effet, et c’est là que nous situons ce travail de logicien dans son tranchant le plus affiné: une différence est identique à elle-même et à ce titre trouve cette commune mesure. Ainsi la structure du mythe relèverait-elle d’une écriture et d’une simple formule que celui-ci nous propose dans son article. C’est de cette formule que J.LACAN part dans son article sur le « Mythe individuel du névrosé ». Mais celui-ci pourra ajouter plus tardivement dans ses commentaires dans « Radiophonie » que cet « inconscient » n’est pas le sien dans la mesure où il n’y a pas de métaphore ni d’énonciation collective. Il n’y a, en effet pour J. LACAN, d’énonciation que d’un sujet supposé et celui-ci interroge la place de Claude LEVI STRAUSS comme lecteur et sujet de cette logique. Cependant reste entière pour nous la question de cette « efficacité symbolique »; en effet le mythe opère et répond de cette lecture. Et reste entier notre étonnement quant au mésusage fait de ces éléments et formalisations dans l’analyse du délire, lieu où par excellence l’énonciation fait justement défaut et retour dans le réel. En effet quelle « efficacité symbolique » pour le délire ?
     Cette question, en 1910, c’est-à-dire il y a aujourd’hui un siècle, semblait bien être celle de FREUD. En effet si nous le lisons avec sérieux, c’est-à dire avec cette préoccupation logicienne de la mise en série, nous avons la surprise d’assister à l’ouverture d’un texte qui restait, sur un certain nombre de points, jusqu’alors hermétique; et ainsi de redonner à ce texte l’actualité brûlante qu’il mérite avec les derniers travaux de J. LACAN.
    Permettez-moi de lire, de relire, avec vous ce texte. « Si nous revenons donc au cas SCHREBER, il nous faut convenir que mettre en lumière la transformation de son délire, offre d’extraordinaires difficultés. Par quelles voies et par quels moyens s’effectue l’ascension de FLECHSIG en DIEU? D’où tire-t-il le délire de grandeur qui rend possible de façon si heureuse une réconciliation avec la persécution, ou pour s’exprimer de façon analytique, qui permet l’acceptation du fantasme de désir à refouler? Les Mémoires nous donnent ici  un point d’appui, en nous montrant que, pour le malade, « FLECHSIG » et « Dieu » se situent dans une série. Dans un de ses  fantasmes, il écoute une conversation de FLECHSIG avec sa femme, où ce dernier se présente comme « DIEU-FLECHSIG », et du coup est considéré par elle comme fou ; mais il nous faut être attentif après aux traits suivants de la formation du délire de SCHREBER. Si nous envisageons l’ensemble du délire, de la même manière que le persécuteur se décompose en FLECHSIG et en DIEU, FLECHSIG lui-même se divise ultérieurement en deux personnalités, le FLECHSIG « supérieur é et le FLECHSIG du « milieu », ainsi que DIEU se divise en en DIEU « inférieur et DIEU « supérieur ». Dans les stades ultérieurs de la maladie, cette décomposition, pour FLECHSIG, va plus loin encore. Une telle décomposition est tout à fait caractéristique de la paranoïa. La paranoïa décompose comme l’hystérie condense. Ou plutôt la paranoïa désagrège les identifications et les condensations produites dans le fantasme inconscient. Le fait que cette décomposition soit répétée plusieurs  fois chez SCHREBER est, selon C. JUNG, l’expression de l’importance de la personne en question. Toutes ces divisions de FLECHSIG et de DIEU en plusieurs personnes veulent donc dire la même chose que le partage du persécuteur en FLECHSIG et en DIEU. Ce sont des redoublements de même rapport significatif, comme O. RANK a pu le reconnaître dans les formations de mythes. » Je ne vais pas aller au-delà dans cette longue citation et laisse à chacun le soin d’en poursuivre la relecture.
    Nous entendons, dans ce texte, comment FREUD est sensible et préoccupé de logique dans cette lecture qu’il nous propose. Ces oppositions qu’il isole et met en évidence lui permettent de dégager le travail de cet « appareil logique », voire  « topologique » pourrions nous ajouter. En effet ces oppositions sont lues comme identiques les unes aux autres est viennent toutes signer le travail de décomposition spécifique au travail du délire. Certes le pas suivant n’est pas fait mais la direction nous est donnée, direction qu’il nous faut, un siècle après et avec l’aide de J. LACAN,  emprunter, jusqu’à la topologie borroméenne en passant par le schéma I.
    Dans sa lecture FREUD s’appuie sur, et fait valoir, les travaux d’O. RANK et tout spécialement sur son écrit intitulé le « Mythe de la naissance du héros », que celui-ci vient de proposer à FREUD. J’ai beaucoup de respect pour RANK et tout spécialement pour ses premiers travaux où celui-ci fait preuve d’intuitions géniales, même si son comportement ultérieur et son parcours ont pu laisser beaucoup à désirer. LACAN lui-même s’est beaucoup appuyé sur ces travaux, d’autres travaux.
     Quel est le tranchant de la proposition qui anime son travail sur le mythe du héros? Je vous rappelle que nous sommes en 1908, bien avant les premiers travaux de Wladimir PROPP du début des années 30, et pour une toute première fois un auteur fait du mythe le déroulement d’une séquence ordonnée, réglée par la succession de deux scansions et la présence de redoublements ou doublets. Une toute première intuition de la structure ! Et sans l’appareillage linguistique ! Il est un peu facile de lui reprocher le recours qui est le sien à l’imaginaire. Je pense d’ailleurs qu’avec le nœud borroméen et le recours aux consistances ce type de critique devrait être réévalué.
     Dans le «mythe de la naissance du héros » que trouve-t-on ? Dans les conclusions de son travail, qu’il vous faut lire, O. RANK évoque la construction du délire de grandeur qu’il juge tout à fait homogène à la séquence qui conduit le héros vers son destin. FREUD s’appuie manifestement sur ces commentaires. Mais plus précisément que dit O. RANK? « On peut caractériser le mythe, d’une façon générale, comme étant une formation paranoïde. Au caractère paranoïde est principalement associée la capacité de décomposer- c’est-à-dire de diviser en redoublements ou doublets-… ce qui dans le fantasme est intimement fondu ». Comment entendez-vous ceci ? Sinon comme si ce qui se trouve en position de faire commune mesure, de faire trait dans le fantasme et support d’identification, se proposait là à la décomposition, à la division en doublets ou redoublements. Cette commune mesure saute et au lieu même de ce défaut s’ouvre une formation organisée selon la logique qui anime le mythe ou, ici, le délire. Ce sont ces doublets et redoublements que lit FREUD chez SCHREBER. 
      Cette remarque est considérable et a une portée que nous sommes loin d’avoir épuisée. Et c’est elle que je voulais amener, aujourd’hui, dans ces journées.
      Pourquoi souligner une telle remarque ? Pour le simple plaisir d’un travail de logique ? Pour le plaisir de souligner ce qui resterait une simple curiosité ? Où cette lecture aurait-elle des effets en elle-même dans les liens engagés à un patient et pris dans les enjeux transférentiels et délicats que nous connaissons ? Voilà une question à laquelle il nous faut répondre.
      L’analyste travaille-t-il, dans ces situations délicates, avec le sens, ou travaille t-il avec autre chose que le sens lui-même ? Et cet autre chose n’aurait-il pas à voir avec les éléments de cette lecture que nous propose FREUD ? Pour l’illustrer, et d’une manière peut-être un peu énigmatique, je pourrai évoquer les éléments de la clinique que nous a apportés hier Valentin NUSINOVICI et ce qu’il nous donne à entendre. Je vous renvoie à son travail. En effet cet enfant que Valentin finit par prendre dans ses bras est repéré comme un moment clé dans le travail avec cet enfant. En quoi ? Tout semble se passer comme si à son insu, avec ce qui s’impose à lui et auquel il consent, ça n’était pas avec le sens que celui-ci travaillait mais avec le réel de l’effet de sens et qui permettait au sens de se déplier, de s’étayer, et de se construire. Quelque chose se trouve déplacé et proposé. C’est de cette manière que je peux lire ce qui se passe dans ce moment clef.
     Lire et repérer ce qui est en jeu dans le propos d’un patient, dans ces intervalles et redoublements qui le commandent, jusque dans ses aspects les plus maniaques, c’est contribuer à consentir à se faire le lieu de l’énigme mis en place par ces redoublements qui le commandent. Je n’ai pas souligné, mais comment tout dire bien entendu, comment SCHREBER est l’objet d’un transfert énigmatique que je propose de qualifier de xénopathique: une énigme dans le réel, énigme mise en place par le jeu de l’entre deux de ces instances, et énigme qui le commande. Le simple repérage du jeu de ces instances, dans le transfert, fait de l’analyste le support de cette énigme et contribue du même coup à la pacification de ce commandement xénopathique. C’est ce qui se passe pour cet enfant même si nous sommes très éloignés, en apparence, de cette clinique schréberienne, et c’est ce qui fait aussi son intérêt. Travailler de cette manière est travailler avec l’impossible par la mise en jeu du réel de l’effet de sens et non pas avec le sens. En effet nous avons tous fait l’expérience que travailler avec le sens, avec un patient pris dans cette sensitivité si commune, ne peut faire que positiver l’objet et l’engager une nouvelle fois dans la persécution avec comme persécuteur, cette fois-ci, son analyste. Ce lieu de l’énigme, n’étant plus assumé par le thérapeute, s’ouvre à nouveau dans un au-delà du persécuteur qu’est devenu le thérapeute, comme avec FLECHSIG. Mais ces questions ne sont pas vraiment d’actualité aujourd’hui et feront très certainement l’objet d’autres futures journées.
    Voilà ce que je voulais apporter aujourd’hui- pour vous donner le goût de la topologie et des enjeux d’une telle lecture- en vous donnant à entendre, non seulement comment ces éléments diachroniques sont intimement noués aux enjeux de la synchronie, mais comment la lecture du délire, ou d’une réalité délirante, pourrait contribuer à le pacifier en assumant par cette lecture le lieu de l’énigme, d’une faille, ou mieux d’un sillon ; « appareil logique » qui puisse permettre la mise au travail d’un au-delà du sens. De nouvelles questions et perspectives s’ouvrent alors à nous... 


Quelques éléments de bibliographie
L’ensemble des travaux de Claude Lévi-Strauss serait à consulter mais plus particulièrement les travaux suivants :
-ANTHROPOLOGIE STRUCTURALE 1 :
     - Chapitre XI : La structure des mythes.
-ANTHROPOLOGIE STRUCTURALE 2 :
     - Chapitre VIII La structure et la forme
     - Chapitre XIII Rapports de symétrie entre rites et mythes de peuples voisins.